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16 avril 2012 1 16 /04 /avril /2012 00:01

Sushi sucré chocolat

http://www.cuisine-campagne.com/test/sushisucre1.jpg

Préparation : 40 min

 

Cuisson : 10 min

 

Difficulté : 2/5

 

Type de plat : Dessert

 

Ingrédients

(pour 6 - 8 personnes)

- 200 g de chocolat noir coupé en morceaux
- 1 kiwi pelé
- 1 petite mangue pelée
- 3 c. à soupe de tequila ou de vodka ou de rhum
- 250 g de riz japonais pour sushis
- 40 cl de lait de coco en boîte
- 100 g de sucre en poudre
- 1 c. à soupe de vinaigre blanc

 

 

Recette

 

Coupez les fruits en bâtonnets de 5 mm d'épaisseur et mélangez-les à l'alcool.
Placez le riz dans une casserole à fond épais avec le lait de coco. Portez à ébullition, puis laissez mijoter très doucement 10 min en remuant fréquemment, jusqu'à ce que le riz soit épais et collant.
Ajoutez le sucre et le vinaigre, couvrez et laissez refroidir.
Faites fondre le chocolat.
Formez 3 rectangles, chacun de 24 x 10 cm, sur 3 feuilles de papier sulfurisé de façon qu'un long côté soit au bord du papier.
Versez le chocolat dessus.
Versez le riz refroidi sur 3 feuilles de papier de 24 x 8 cm, en le pressant fermement avec le dos d'une cuillère mouillée.
Disposez une ligne de fruits au centre, en réservant le liquide de macération.
Enroulez avec soin les fruits et le riz dans le papier, pour former un long boudin.
Déballez le riz et enroulez-le dans le papier couvert de chocolat, côté chocolat.
Réfrigérez 2 h, puis retirez le papier.
Coupez le sushi en portions avec un couteau très aiguisé.
Nappez du jus réservé.

 

Source / Auteur

 cuisineza

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3 juin 2011 5 03 /06 /juin /2011 23:09

Sushi sucrés

 

Préparation : la veille + 20 min

 

Cuisson : 20 min

 

Difficulté : 2/5

 

Type de plat : Dessert

 

Ingrédients

(pour 7-8 personnes)

- 90 g de riz rond spécial dessert

- 500 ml de lait

- 50 g de sucre de canne

- 1 cuillère a café d'extrait de vanille

- 1 petit kiwi

- Quelques tranches de melon

- Coulis de fruit

 

 

Recette

La veille (ou quelques heures auparavant):

Versez la vanille dans le lait et portez à ébullition.

Rajouter le riz et laissez cuire environ 20 minutes.

Versez le sucre et laisser finir de cuire jusqu'à ce qu'il n'y ait plus de lait.

Laissez refroidir avant de mettre au frais.

Le jour même :

Une fois le riz froid, formez des petites quenelles de la taille d'une cuillère à café, disposez dessus des petites lamelles de fruits.

Servez avec du coulis de fruit(ou de la crème caramel, de l'arôme vanillé,sauce au chocolat, crème anglaise...)

 

Source / Auteur

http://www.ohmydollz.com/

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28 mai 2011 6 28 /05 /mai /2011 16:25

(Je ne l'ai pas essayé, tout du moins pas encore)

 

Ramen

 

 

Préparation 40 min

Cuisson 60 min

Difficulté 1/5

 

 

Ingrédients

(pour 4 personnes)

- 300 g de pâtes japonaises

- 400 g d'échine de porc

- 1,5 L d'eau

- 4 œufs dur

- 2 poireaux

- 2 carottes

- bouillon de porc en poudre

 

 

Recette

Faites durcir les œufs.

Coupez les carottes et les poireaux en morceaux.

Coupez la viande en petites tranches de 2 cm sur 3 cm (comme les lardons).

Faites bouillir de l'eau. Pendant ce temps, faites cuire les légumes ensemble : ils sont cuits quand les poireaux commencent à devenir transparents. Faites cuire le porc.

Plongez les pâtes dans l'eau bouillante et faites-les cuire 3 minutes.

Ajoutez le bouillon de porc en suivant les indications figurant sur le paquet (3 cuillères à soupe rases). 

Remuez jusqu'à complète dissolution. 

Ajouter ensuite dans l'eau tout le reste des ingrédients : viande avec sauce, légumes, œufs cuits en morceaux.

 

 

Source / Auteur

http://www.linternaute.com/

 

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26 mai 2011 4 26 /05 /mai /2011 12:57

Cette année Tokyo est devenu la ville avec le plus grand nombre de restaurants étoilés au monde.

Paris compte 97 étoiles, New-York 54,et Tokyo affiche fièrement ses 266 étoiles, et devient ainsi la ville la plus titrée au monde par le célèbre guide rouge.

Pendant plus de dix-huit mois, cinq enquêteurs du Michelin (trois Occidentaux et deux Japonais) ont visité près de 1500 restaurants (la ville en compte tout 160 000) avant de ranger les couverts et de remettre leur rapport. Et il est édifiant.

 

 

Le guide présente un total de 312 établissements, soit 266 restaurants et 46 hôtels. Au niveau des restaurants ils se trouvent répartit de cette façon :

  • 14 restaurants reçoivent trois étoiles
  • 54 restaurants reçoivent deux étoiles
  • 198 restaurants obtiennent une étoile

 

On découvre également dans ce nouveau guide un tout nouveau pictogramme, signalant les restaurants étoilés qui propose un repas pour 5000 yens (environ 45euros). En effet le rapports qualité prix est un des critères du guide Michelin. Les restaurants qui possèdes ce pictogramme représente plus d'un tiers de la selection.

Dans tous les restaurants étoilés, la cuisine Japonaise reste à l'honneur, 73% d'entre eux reste dans la cuisine traditionnel. Alors que le pourcentage restent s'inspire de cuisine de pays extérieur, notamment notre cuisine Française, mais pas uniquement.

 

Malgré les fortes désapprobation du fait que des occidentaux ne pourrait juger honorablement les plats nippon. Le résultat final montre tout le contraire. Le chef Yoshikazu Ono qui était pourtant un farouche opposant a la constitution de ce guide à vu son restaurant de sushis recevoir la plus haute distinction des trois étoiles. Preuve en est faite que les occidentaux savent apprécier la bonne cuisine, même si elle est Japonaise.

 

La comparaison avec la France est assez compliqué. Jean-Luc Naret, directeur des guides Miochelin nous explique un point important:

« Si on totalise les villes du Kansai et Tokyo, ça veut dire aujourd'hui deux fois le nombre total de restaurants qu'il y a en France,a-t-il précisé. Il y a 160 000 restaurants à Tokyo, il y en a 15 000 à Paris et 200 000 en France »

Le nombre n'étant certainement pas le même, c'est la logique qui veut que Tokyo contiennent plus de restaurants étoilés.

Cependant les enquêteurs du livre rouge ont dit être étonné par l'originalité des chefs. La légendaire cuisine française pourrait bien se voir détrôné par des nouveaux plats, faits par des cuisiniers jeunes et plein de créativité. Malheureusement les jeunes chef français n'ont pas encore montré de quoi ils étaient capable.

 

 

Sources :

Dossier de presse du Guide Michelin

 http://www.france24.com/fr/20101124-guide-michelin-tokyo-confirme-son-rang-capitale-3-etoiles-devant-paris

 

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21 mai 2011 6 21 /05 /mai /2011 12:03

Dans la cuisine japonaise, on appelle Wagashi, les pâtisseries traditionnelles, en opposition aux , wagashi yōgashi, les pâtisseries occidentales. « Wa » , « Wa »voulant dire « japonais », et « kashi », « sucrerie » ou « gâteau » (le « k » est réalisé voisé en « g » dans wagashi).

Les wagashi sont donc des pâtisseries japonaise traditionnelle. On peut retrouver dans ses pâtisseries plusieurs aspects du Japon : ses quatre saisons très marquées, le mode de vie des japonais, la littérature, la peinture, la musique et les différents aspects de la culture japonaise.

Le wagashi se consomment souvent en en-cas associés au thé vert, et ont toute leur place au cours de la cérémonie du thé. De plus ces pâtisseries japonaises sont peu caloriques et riches en fibres, ceci par leur compositions. Outre ces vertus diététiques, elles diminuent les carences en sucre, réduisent le stress et détendent l’esprit.

 

Le plus souvent les ingrédients qui composent les wagashi sont :

* l’Azuki

Le haricot préféré des japonais. Sa culture et son utilisation dans la pâtisserie exigent vigilance et minutie. Rouges ou blancs, les haricots constituent la base de nombreux wagashi.

* l’An

Pâte d’azuki (haricot) sucrée. Riche en fibres, c'est l’ingrédient le plus courant dans les wagashi.

* le Kanten (agar-agar)

Particulièrement riche en fibres, cet ingrédient est composé d’extraits d’algues, surtout d’algue rouge (tengusa). On l’utilise pour les pâtisseries gélifiées (notamment les yokan). On trouve également l’agar-agar dans le commerce sous forme de gélatine et est obtenue à partir du collagène des tissus animaux.

* le Wasambon-tô (sucre traditionnel japonais), sucre extrait de cannes à sucre, raffiné selon des procédés traditionnels japonais, le wasambon-tô est un produit régional de l'île de Shikoku.

 

C’est par ses différents ingrédients, entre autre, que l’on considère la confection de wagashi comme un art, qui s’adresse aux cinq sens.

Il serait bien superficiel de rappeler que la pâtisserie japonaise flatte l’œil aussi bien qu’elle régale le palais (la vue et le goût). Elle évoque la délicatesse du contact d’abord sous la pression légère de la main et du bâtonnet, puis celle du palais et de la langue (le toucher). Son parfum doux et caractéristique lui confère toute sa finesse (l’odorat).

 

Enfin, le nom des gâteaux, évoquant les saisons, est une autre particularité. Au printemps, on sert le TÔ- ZAKURA (Horizons Vaporeux de Cerisiers en Fleurs). Ce nom rappelle qu’au printemps, les fleurs de cerisiers sont épanouies et qu’elles panachent le paysage de ravissantes couleurs.

En automne, on offre le KOZUE no AKI (Palette d’Automne), qui évoque les couleurs chatoyantes des feuillages changeants, en particulier ceux des érables…

Ainsi, les noms poétiques des pâtisseries sont liés au sens de l’ouïe. Tout ceci traduit bien le caractère de cet art japonais, qui existe depuis plus de mille ans. Et qui émane de la sensibilité des japonais au Beau en au Délicat, et de leur amour pour la nature et le passages des saisons.

 

On peut cependant répartir les wagashi en divers catégories :

* les gelées : yōkan.

* les sucreries ou dagashi, dagashi, qui sont des pièces moulées en pâte de sucre et farine de riz, tels que les konpeitō ou karintō.

* les petits pains cuits à la vapeur nommés manjū, dont le fameux anpan et l'oyaki, parfois salés.

* les gâteaux à base de mochi (pâte de riz) appelés mochigashi : dango et mitarashi-dango (dango en brochette), daifuku, kashiwa-mochi, kuzumochi, ohagi ou botamochi, hanabiramochi , sakuramochi.

* les gâteaux de pâte de riz proches du mochi : yatsuhashi, gyūhi ou matsunoyuki, uirō.

* les gâteaux à base de pâte à gaufre cuits au four nommés yakigashi : dorayaki, imagawayaki, taiyaki, monaka.

* et enfin divers desserts ou biscuits cuits ou frits : amanattō : des haricots au sucre, okoshi, kintsuba, senbei : gâteaux salés à base de mochi, ainsi que les arare et kakipī que l'on mange en Occident en gâteaux apéritifs.

 

On trouve bien sûr des desserts mélangeant divers préparations :

- l'an-mitsu consistant en un matsumame (gelée, gâteaux de pâte de riz et salade de fruit) avec de l’anko.

- le zenzai ou oshiruko, une soupe de haricots et de mochi.

 

Enfin, un dessert considéré comme japonais mais d'origine portugaise : la kasutera, un gâteau mousseline.

 

Ces catégories ne prennent cependant pas effet dans l’industrie, de nouvelles catégorie on donc été crée, qui son basé sur la teneur en eau :

namagashi contenant plus de 40 % d'eau,

han-namagashi entre 10 et 40 %,

higashi moins de 10 %.

 

 

Le plus célèbre commerce de wagashi reste depuis bien longtemps, La maison TORAYA. Elle a une histoire longue de près de cinq siècles. Son commerce de la pâtisserie débuta dès la fin de l’ère Muromachi, au milieu du XVIe siècle, faisant de Toraya l'une des plus anciennes pâtisseries traditionnelles du Japon.

Le nom de Toraya apparait également dans les récits, contemporains à la guerre Sekigahara qui se déroula en 1600.

Toraya, fournisseur officiel de la Cour impériale tout au long de son histoire, s’installa à Kyoto tout d’abord, puis suivit la famille impériale à Tokyo lorsqu’elle devint la nouvelle capitale en 1869. Toraya y ouvrit un nouveau magasin tout en conservant celui de Kyoto et possède plus de 70 magasins à ce jour, dans l’ensemble du pays, notamment autour de Tokyo.

C’est la famille Kurokawa qui assure, depuis son origine, l'extraordinaire destin de cette maison. Le président actuel de Toraya représente la 17e génération, assurant ainsi la pérennité de cette ancienne maison pour qui l’héritage et la tradition sont des valeurs primordiales.

Toraya fabrique ses gâteaux selon des procédés modernes, grâce à des technologies avancées. Cependant il conserve les techniques artisanales pour la confection des Namagashi (autre appellation de wagashi ), gâteaux frais de saison. Sous les doigts de pâtissiers confirmés, chaque Namagashi devient une création artistique.

Toraya met un point d’honneur à garantir le meilleur niveau de qualité, ceci pour assurer à sa clientèle la plus grande satisfaction.

La maison Toraya à même réussi le paris de s’exporter hors du Japon. Un commerce à en effet ouvert ses portes à Paris. Ils y présents les wagashi fait sur place avec les produits exporter du Japon.

 

 

TORAYA Paris

Adresse : 10, Rue St-Florentin, 75001 Paris

Tél : 01 42 60 13 00

Fax : 01 42 61 59 53

E-Mail : f-toraya@toraya-group.co.jp

Métro : Concorde (ligne 1, 8, 12) ou Madeleine (ligne 8, 12, 14)

 

 

Même si la maison Toraya conserve la confection en parti traditionnel des wagashi ce n’est pas le cas pour tout le monde. Un autre artisans à lui aussi ouvert son commerce en plein cœur de la capital, Mr Sadaharu Aoki.

Ce pâtissier japonais ne propose pas de wagashis à proprement parler : technique française et ingrédients nippons se rencontrent ici pour des créations esthétisantes, avec comme fil conducteur le thé vert matcha, le yuzu (agrume nippon), le sésame noir et l'azuki (haricot rouge).

Voilà ce qu’a déclaré Mr Sadaharu Aoki, sur son site internet :

« C'est délicieux ! 

Lorsque, dégustant l'un de mes gâteaux le sourire aux lèvres, quelqu'un prononce ces mots,

j'ai toujours envie de lui répondre:

Très bien mais je peux faire encore mieux.

C'est mon quotidien.

 J'aime faire simple.

Mais lorsqu'on fait simple, la difficulté c'est qu'on ne peut pas tricher.

 La France c'est pour moi la chance de pouvoir utiliser des ingrédients de qualité issus du terroir mais aussi d'être entouré de gens qui ont une vraie passion et une réelle sensibilité pour la pâtisserie.

 La douceur d'une crème fraîche épaisse.

Le goût frais d'un thé vert et sa couleur éclatante.

Une pâte à tarte qui croustille.

L'éclat d'un chocolat.

Faire de la bonne pâtisserie.

Mais pour atteindre cet objectif, il est essentiel de garder sa simplicité.

 Paris. Cette ville qui tient sans cesse mes sens en éveil est aussi une source perpétuelle d'inspiration. »

 

 

Ses deux commerces se trouvent :

56, Bd Port Royal, 75005 Paris,

tél. : 01 45 35 36 80,

ou 35, Rue de Vaugirard, 75006 Paris

Tél. : 01 45 44 48 90

site internet : http://www.sadaharuaoki.com/

 

 

 Désolé la video est en anglais, mais elle donne une bonne vision des pâtisseries de Sadaharu Aoki

 

 

 

 

Sources pour la conception du document :

http://www.toraya-group.co.jp/paris/

http://www.skytopic.com/125825923-les-wagashi

http://fr.wikipedia.org/wiki/Wagashi

http://www.sadaharuaoki.com/

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